Cette histoire aborde les stéréotypes de genre liés à l’apparence et aux capacités physiques. Elle permet aux jeunes de réfléchir sur les notions de compétition, d’esprit d’équipe. La mixité et la parité y sont abordées, notions qui se décrètent mais qui se vivent.
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Guide détaillant les conséquences de la crise du covid-19 et du confinement sur les associations : activité partielle, organisation du télétravail, report des actions et événements, vie statutaire à distance, activités qui peuvent être maintenues, etc.
En France, la cour de récréation des écoles primaires constitue un lieu où les enfants sont en grande partie livrés à eux-mêmes sous la surveillance des enseignant-e-s, dont la responsabilité consiste principalement à assurer la sécurité des élèves.
En cette période de confinement, le Ministère de l'Éducation nationale s'appuie sur la télévision publique pour proposer des contenus pédagogiques variés. Ainsi le site Lumni, anciennement France TV Éducation, propose un accès à la culture, au savoir et à la connaissance.
À l'occasion de la rentrée du Bachelor en enseignement préscolaire et primaire, Caroline Dayer, docteure et chercheuse, formatrice et consultante, experte des questions d'éducation et de formation, de violence et de discrimination, de genre et d'égalité, s'est exprimée le 29 août 2017 sur les int
Titre
Théâtre forum
Tout public à partir de 11 ans
Les poils, en avoir trop ou pas assez… Les poils, qu’on supprime ou qu’on espère…
Bibliographie en ligne sur genre et urbanisme, qui comprend des références bibliographiques d'articles sur l'architecture, le développement durable, l'aménagement, l'écologie, le logement, le matrimoine...
Maydee est une application libre d'utilisation pour mieux comptabiliser et répartir les tâches domestiques et parentales au sein du foyer et favoriser l'égalité femmes-hommes. Les inégalités au sein de la sphère domestique et familiale touchent toutes les classes sociales.
10 jours après le début du confinement, le ministre de l’Intérieur a indiqué une hausse très significative des violences intrafamiliales : de 32 % dans les zones gendarmerie, et de 36 % pour la préfecture de police de Paris.