On peut n'avoir même pas trente ans, avoir créé une série culte, avoir déjà été qualifiée pêle-mêle de « voix d'une génération » et de « fille naturelle de Susan Sontag et de Woody Allen », figurer dans la liste du Times des 100 personnes les plus influentes du monde, avoir vu Joyce Carol Oates chanter vos louanges, avoir décroché un contrat faramineux avec une des plus grandes maisons d'édition américaines, et pourtant être percluse de tocs, de complexes et d'angoisses existentielles.
Lena Dunham, c'est la bonne copine.