Quatrième de couverture :
Le cinéma est une usine à rêves. A rêves masculins. Dénoncé comme l'industrie américaine la plus misogyne, il perpétue la discrimination entre les sexes. Lorsqu'elles arrivent à pénétrer ce ghetto masculin, productrices, réalisatrices, actrices ont des budgets moins élevés, des cachets inférieurs, des genres cinématographiques restreints et une carrière menacée dès les premières rides sur l'écran.