Cette étude de la Fondation Agir Contre l'Exclusion (FACE) constitue la première étape du projet “Companies Against gendeR ViolencE (CARVE)” (2014-2016) soutenu par la Direction Générale de la Justice et des Consommateurs de la Commission européenne, dans le cadre du programme DAPHNE III.
En France, en 2014, plus de 216 000 femmes ont déclaré être victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime (conjoint, concubin marié, pacsé, petit-ami…).
Cette étude de la Fondation Agir Contre l'Exclusion (FACE) constitue la première étape du projet “Companies Against gendeR ViolencE (CARVE)” (2014-2016) soutenu par la Direction Générale de la Justice et des Consommateurs de la Commission européenne, dans le cadre du programme DAPHNE III.
En France, en 2014, plus de 216 000 femmes ont déclaré être victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime (conjoint, concubin marié, pacsé, petit-ami…). Les violences touchent toutes les catégories de populations, parmi lesquelles des femmes salariées. Pour ces femmes, l’entreprise peut constituer soit un “lieu-refuge neutre”, un lieu d’entraide où l’agresseur ne peut exercer son emprise, soit un lieu de danger potentiel car connu du partenaire lorsque les femmes quittent le domicile. Les entreprises sont impactées par ce sujet, pourtant, elles sont peu nombreuses à s’en être saisies.