Trois femmes de l’après-guerre papotent sur un banc. Elles sont patronne, employée et ouvrière, avec le poids des enfants et de la vie conjugale qui ne leur laisse guère le temps de respirer. Elles viennent d’avoir le droit de vote, mais ça ne suffit pas ! Et l’apparition des merveilles de l’électro-ménager ne fait qu’ajouter une couleur moderne à l’esclavage des ménagères. D’année en année, ça change. Mais sans hâte et sans l’accord des hommes.Une comédie désopilante sur l'histoire du droit des femmes...Marcelle, France et Jeanne avaient 20 ans en 1940.
Trois femmes de l’après-guerre papotent sur un banc. Elles sont patronne, employée et ouvrière, avec le poids des enfants et de la vie conjugale qui ne leur laisse guère le temps de respirer. Elles viennent d’avoir le droit de vote, mais ça ne suffit pas ! Et l’apparition des merveilles de l’électro-ménager ne fait qu’ajouter une couleur moderne à l’esclavage des ménagères. D’année en année, ça change. Mais sans hâte et sans l’accord des hommes.Une comédie désopilante sur l'histoire du droit des femmes...Marcelle, France et Jeanne avaient 20 ans en 1940. On les retrouve dans les années 50, elles sont mariées, mères au foyer et ont renoncé à leurs ambitions personnelles pour rentrer dans le droit chemin dicté par la société.
A travers des scènes de la vie quotidienne et des parodies de chansons, elles retracent, pour vous, l'évolution de la condition féminine en France.
Trinidad a eu l’idée d’une comédie chantée qui conterait les combats, les débats et même les ébats de la femme depuis les années 50. Pas le genre documentaire, ni professoral, ni militant. Plutôt du théâtre mordant, rieur, sans avoir l’air de se prendre au sérieux. Cinq complices se sont mises au travail et le jeu de mots du titre (évidente allusion à Simone Veil, championne historique de la contraception et de l’IVG) montre bien qu’en surface, on est dans la blague et, sous la farce, dans une satire jamais innocente.